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Lisez Viola Atticus Rosier
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Âge RPG : 16 ans
Ascendance : sang pur
Emploi(s) : Préfète de Gryffondor
Mornilles : 61
Date d'inscription : 04/05/2018
Messages : 26
Viola A.Rosier
Viola A.Rosier
Dim 6 Mai - 17:24





Viola Atticus Rosier

create chaos




Fiche d'identité.


Lisez Viola Atticus Rosier LargeNom : Rosier
Prénom : Viola Atticus
âge : 16 ans
Nationalité : Ecossaise aux origines française
Statut : Cinquième année
maison :Gryffondor
Emploi : préfète de Gryffondor
baguette : Bois de cèdre, poil de rougarou, 23.32cm
patronus : moineau
épouvantard : l'enfermement
compagnon : deux chats maigrelets, dileas et sly




Ton Caractère


Viola est étrange. Vous le savez et elle le sait. Elle l'a toujours été. Quand on la décrivait, petite, on disait "c'est une enfant étrange." Celle qui fixe des points dans le vide des heures durant, qui hurle sans raisons en plein milieu du repas, qu'on retrouve assise sur le bord d'une falaise, endormi, après des jours d'absence. Et aujourd'hui encore, c'est une jeune fille étrange. Ne vous inquiétez pas pour sa santé mentale, elle ne hurle plus à tout bout de champ, et elle disparaît beaucoup plus rarement. Mais c'est ce genre de personne qui vous fixe bizarrement, qui vous suit sans raisons. Le problème avec elle, c'est qu'elle change du tout au tout; une seconde elle vous adore, la suivante elle vous abhorre. C'est l'ascenseur émotionnel permanent, du rire au hurlement, de l'amour à la haine. Alors difficile de comprendre ce qu'elle peut bien penser de vous, ou penser tout court.

Ne pensez-pas qu'elle est cruelle. Ce n'est pas une fille froide et distante, elle n'a rien de foncièrement mauvais, elle n'est pas vraiment méchante, juste un peu agressive, et somme toute assez égoïste. Tout, au fond d'elle, est source de conflit, ce qu'elle veut faire, et ce qu'elle doit faire, ce que son cœur veut, ce que sa tête suggère, ce qu'elle voit et ce qu'elle imagine, ce qu'elle sait et ce qu'elle soupçonne, sa pénombre et sa clarté. Et dans ce brouhaha incessant, les émotions brûlantes qui l'habitent la dominent souvent. Et cela peut lui jouer des tours. Elle aime trop fort, elle hait trop fort. Cette violence lui fait souvent du mal, et ces les autres qu'elle blesse alors. Méfiez-vous de ce qu'elle peut vous dire, elle ne ment pas, mais elle n'est pas honnête non plus. On pourrait croire que toutes ses émotions, tous ses sautes d'humeur la révèlent, mais il n'en ai rien. Le plus vif et le plus terrible, le plus ardent reste bien enfouie dans son esprit, pour le jour où il servira. Curieuse et emportée, vous la trouverez souvent en train d'observer ce qu'elle ne devrait pas, de critiquer ce qui ne la concerne pas.

Elle n'a aucune patience, aucune. On n'a vraiment pas le temps de prendre le temps. Il file beaucoup trop vite. Alors on se dépêche de faire les choses et on passe aux suivantes. Elle n'est certainement pas stupide, c'est une gamine futée plus que brillante, assez perspicace et diablement attentive. On l'aime parce qu'elle sourit, parce qu'elle rit fort, parce qu'elle aime violemment, parce qu'elle est inventive et maligne, parce qu'elle est drôle et déterminée. On la déteste parce qu'elle furète, parce qu'elle est bruyante, impatiente, parce qu'elle est mesquine et quelque peu sournoise, désagréable et dominatrice. Et peu importe après tout. Elle se moque bien de tous cela. Elle est ce qu'elle est, avec toute sa noirceur, avec toute sa bonté, elle avance. Pour elle, il n'y a aucun passé, hier n'est plus, il n'y a qu'aujourd'hui et demain. Toujours avancer, ne pas regarder derrière. Avancer et vivre. Elle s'adapte, elle rebondit. Si elle était l'un de l’élément, ce serait certainement l'air. Elle se débrouille, et elle s'en tire presque toujours. Presque.


Ton histoire.


Dans la nuit du 11 février 2002, dans les Highlands brumeuses et inhabitées d'Ecosse, au château  bàsan milis, un Rosier meurt, et une Rosier naît. Sous la lumière de la pleine lune, Atticus Rosier, le père, agonise dans l'allée de la demeure les yeux levées vers le ciel, le poignard portant ses initiales enfoncées dans le cœur. Il attend en silence que son dernier souffle s'échappe et il pense à l'enfant qui va naître. Il ne verra jamais le visage de sa fille. Beaucoup virent, dans cette nuit de pleine lune et de sang, l'explication d'un caractère étrange, et d'une enfance compliquée. La superstition des domestiques voyaient en cette petite fille, la réincarnation vengeresse du père. Le même regard glacée, la même bouche pâle et avide, les mêmes cheveux translucides et épais. Personne ne sut ce qui poussa Atticus à se donner la mort. Folie ? Peur ? Regret ? Sortilège ? Il n'y eu aucuns témoins autre que la grande dame ronde. Et la réponse ne vint jamais. Alors la petite Rosier grandit sans lui, dans l'ombre permanente de ce noble monsieur qui trônait dans un lourd et obscur portrait au-dessus de la cheminée. Sa présence semblait rappeler incessamment à sa mère celui qu'elle avait aimer et perdu si tragiquement.

Elle vivait dans le vieux château des Rosier. Un endroit un peu triste, emprunt de souvenir et de défunts qui l'observaient tous dans le grand couloir du rez-de-chaussée, dans leurs tableaux plus ou moins abîmées. Ces noms et ces dates la fixaient de leur grands yeux tristes, l'air de condamner chaque rires, chaque jeux, chaque bousculades. Et au bout du couloir, il y avait le grand bureau, elle s'y cachait souvent pour lire de vieux livres interdits, entre le globe ensorcelé qui tournait éternellement et les bouteilles d'alcools aux noms obscurs et aux âges impressionnants. Et derrière la grande salle à manger, où elle prenait chaque repas au bout de l'immense table éternellement vide, sauf pour ces interminables et soporifiques dîner de famille, il y avait la bibliothèque. Le lieu aux milles cachettes. Les étagères interminables, croulantes sous les livres aux titres alambiquées, ne semblait qu'attendre d'être fouillées. Sa chambre était au dernier étage, face à celle de son frère. Pour son dixième anniversaire, il lui avait gravé son nom au couteau sur la porte en gaélique "bhris a 'fàs". Le nom était entrelacé de feuillages et quand on regardait de suffisamment loin, l'ensemble semblait presque bouger. C'était une pièce spacieuse et lumineuse, percée de trois fenêtre qui donnait toute sur les jardins mal entretenus de la propriété. Les murs blancs étaient quasiment nus, hormis celui percé de deux fenêtre. Viola avait placée entre elle une toile de style Classique, à la Boticelli. Elle représentait une femme dans une tunique transparente, des fleurs dans les cheveux qui semblait marcher dans un lac et la beauté de cette nymphe la fascinait. Il n'y avait pas grand-chose d'autre, un bureau sombre, un grand lit, un miroir, une commode et une petite bibliothèque. Les 10 années qu'elle avait passé dans le château ne l'avait pas poussé à la rendre plus colorée, plus personnelle, elle l'aimait comme ça, au grand dam de son frère Octave, qui trouvait l'endroit affreusement triste.

Octave, était le plus vieux, et seul autre enfant de la maison. De 6 ans son aînée, ils s'étaient seulement croisé à Poudlard, mais cette différence d'âge n'avait jamais empêché les deux d'être extrêmement liés. Peut-être parce qu'il était la seule figure masculine de la maison, Viola adorait plus que tout son frère. Et peut-être parce qu'elle était la seule qu'il supportait dans la famille, Octave adorait sa sœur. Il n'avait eu de cesse, depuis le jour de sa naissance, de surveille sa sœur, de l'éduquer, de lui enseigner des rudiments de magie, de la protéger. L'admiration de la petite fille pour ce jeune homme charismatique et charmeur n'avait aucunes bornes, et cette adoration n'avait que gonflée l'amour de l'adolescent pour sa cadette. Face aux aléas du destin et aux intrigues sournoises de la famille Rosier, le lien entre les deux avaient agis telle un rempart, c'était une promesse, un serment muet qu'il s'était fait, peu importe l'effondrement du monde, tant que nous restons soudées. Et ce serment n'avait jamais faibli. Alors lorsqu'il était revenu au château, après ces études, face à leur mère et au reste de la famille, pour récupérer le nom, les biens et tous ce qui suivait des Rosiers, elle n'avait pas hésité un seul instant à suivre Octave. Il avait pris la place de son père en tant que chef du clan Rosier, et à 21 ans, c'était mis toute la lignée à dos tout en obtenant leur allégeance, pour ce que ça valait dans la famille. Quand à sa mère, Katherine Rosier, elle s'était tue devant l'ascension de son fils. Difficile de savoir si elle avait approuver ou simplement accepter. Katherine, contrairement à sa fille, était une femme taciturne. Viola n'avait jamais souffert de violence morale, physique ou psychologique, sa mère l'aimait, comme elle le pouvait. Mais elle n'avait jamais sentis de vrais marques d'affections. Au fond la mort du père l'avait rendu muette, triste et trop inquiète. Comme si elle cherchait à déterminer en permanence qui des deux enfants se tueraient en premier.

Ce ne fut pas une enfance malheureuse. Elle avait passé ses premières années dans le château remplis de mystère, à lire, à courir dans les escaliers en riant avec son frère, à explorer le parc. Le soir il y avait les récits de Dougall, l'intendant de la maison, des légendes écossaises remplîtes de guerriers impitoyables. Une fois par mois, le clan se réunissait dans la grande salle à manger. Assis au bout de la table avec les enfants, Viola observait les adultes discuter avec monotonie. Puis la petite troupe de cousins se réfugiait dans les cuisines et les plus jeunes regardait avec envie les plus vieux d'entre eux se lancer des sorts. A 5 ans, elle découvrit la France, terre natale de son père, pour la première fois. Elle y passa par la suite, une bonne partie de ses étés, elle y apprit aussi la langue. Les soirées au bord de la mer étaient l’occasion de débat enflammé entre la fratrie Rosier d'Ecosse et celle française sur la meilleure école de magie. Les discussions prenaient fin par une bonne bagarre puis par un plongeon dans l'eau salé de la Méditerranée. Ce fut aussi la première année qu'elle passa loin de son frère. Octave avait rejoint Poudlard, vidant bàsan milis de ses éclats de rire, et elle se retrouva bien seul entre les murs de pierre glacée. Elle attendait chacune de ses lettres avec une horrible impatience et les conservait précieusement dans une petite boîte en bois sombre sous son lit. Les années suivirent furent absolument toutes semblables. Aucuns événements ne vint trouver la paix de la maison. Elle apprit à écrire et à lire le gaélique avec Dougall, et manifesta ses premiers signes de magie à 6 ans, en explosant trois vitres du premier étage, lors d'une grosse crise de larme. Sa mère, elle, continuait de se murer un peu plus profondément dans le silence.

Puis, le jour de ses 11 ans, une lettre, frappé du sceau de l'école de sorcellerie, l'attendait sur le bureau. Elle l'avait attendu, ce maudit bout de parchemin, et pourtant, maintenant qu'elle l'avait, elle hésitait. Elle craignait que son départ ne marque la fin de la maison de bàsan milis, et de tout ce que son père avait construit. Elle était jeune, certes, mais elle n'ignorait pas les intentions de ses tantes et oncles. Il attendait que le dernier enfant s'en aille, et soit occuper ailleurs pour tout leur prendre. Et sa mère ne s'opposerait surement pas à cela, elle était trop faible, trop muette aujourd'hui. Elle ne s'était pas tromper, quelques jours après son arrivée à l'école, elle reçu un courrier de Dougall, adressé à son frère et elle, les prévenant que leur oncle Phileas avait investit la maison, et l'avait renvoyé par la même occasion. Octave entra dans une colère folle ce jour-là, et renvoya un certains nombres de courriers. Elle ne sut jamais à qui il les avait adressé. Elle connaissait son frère, il rongeait son frein à Poudlard, en sachant que de l'autre côté du pays, le reste de la famille s'employait à leur voler l'héritage paternel. Pendant l'année entière, le serdaigle ruminait sa colère et préparait son retour, et sa revanche par la même occasion. Le dernier jour d'école, ses ASPIC en poche, il confia à sa sœur le double des clés du château qu'il avait conservé. Cet été là, elle ne rentra pas en Ecosse et passa tout l'été en France. La famille paternel était de ceux qui soutenait son frère. Et lors de son départ sur le quai de la gare, début septembre, Octave l'attendait, souriant, un petit carton dans les bras. A l'intérieur, un minuscule chaton aux poils noirs et brillants la fixait de ses deux grands yeux sombres. En l'embrassant pour le remercier, elle remarqua, autour de son cou, la clé frappé au nom des Rosier, qui trônait jadis à côté de la grande entrée, la même clé que leur oncle s'était approprier. Ce fut la réponse au questions muettes qu'elle voulait lui poser.

Poudlard


matière favorite :  potions et sortilège
matière détestée :  histoire de la magie
options : études des runes, soins aux créatures magiques et arithmancie
adresse postale :  place 17, table des gryffondor, grande salle, Poudlard
patronus : moineau
épouvantard : l'enfermement

Famille


L'arbre généalogique de Viola est un chaos sans nom. Les noms sont codifiés selon les maisons de Poudlard, les noms blancs sont les sorciers de Beauxbâtons, les gris sont ceux non-scolarisés

Octave, frère de Viola
Katherine, mère de Viola
Atticus, père de Viola

côté paternel (famille Rosier)

Moïra, grand-mère de Viola
Barnabé, grand-père de Viola
Etienne, oncle de Viola
Amélia, tante par alliance de Viola
Basile, Marin et Valentin, cousins de Viola

côté maternel (famille Macmillan)

Isobel, grand-mère de Viola
Allistair, grand-père de Viola
Ernie, oncle de Viola
Sinead, tante par alliance de Viola
Peter, Newton et Delia, cousins de Viola
Phileas, oncle de Viola


Mes rps

Rencontre nocturne avec Angélique Volturi
la nuit noire de septembre avec Luna Lovegood





(c) Gnuh de Never Utopia.
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